Test de X Rebirth : et sans les bugs ?
Profonde désillusion que la sortie de ce X Rebirth : des promesses partiellement tenues et des bugs en quantité industrielle torpillent la licence.
Sixième épisode de la franchise « X », Rebirth a comme son nom l'indique l'objectif de relancer la licence en se focalisant notamment sur son accessibilité : l'interface a ainsi été complètement revue afin que ce jeu de stratégie / gestion spatiale en monde ouvert puisse convaincre un plus large public. Les Allemands d'Egosoft ont toutefois insisté sur le fait que la richesse du jeu n'a pas été le moins du monde amoindrie. Le studio a-t-il réussi ce qui se rapproche de la quadrature du cercle ?
Disponible depuis le 15 novembre dernier, X Rebirth a été testé par nos collègues de JeuxVideoPC.com qui lui ont donné sa chance en attendant quelques mises à jour. Plutôt que de faire un copier/coller de l'article de Zick, nous nous limitons ici à la (mauvaise) note, aux +/- et à la conclusion d'un test qui se désole de la quantité de bugs présente. Egosoft a littéralement tué son projet.
Testé par JeuxVideoPC.comRetour au sommaire
Disponible depuis le 15 novembre dernier, X Rebirth a été testé par nos collègues de JeuxVideoPC.com qui lui ont donné sa chance en attendant quelques mises à jour. Plutôt que de faire un copier/coller de l'article de Zick, nous nous limitons ici à la (mauvaise) note, aux +/- et à la conclusion d'un test qui se désole de la quantité de bugs présente. Egosoft a littéralement tué son projet.
Entrer dans l'espace
ConclusionRetour au sommaire
X Rebirth est un gâchis comme on en voit peu. En voulant attirer les néophytes sur leur série, Egosoft a complètement échoué. Non pas que le compromis entre richesse et accessibilité soit foireux, il est peut-être réussi. Mais il est enfoui sous une telle couche de bugs, d’erreurs de design et d’aberrations que l’on ne peut le conseiller à personne. Ne touchez pas à X Rebirth avant au moins 6 mois. En l’état, ni le fond – construire son empire stellaire, explorer son univers - ni la forme – interface foireuse, jeux qui tourne à 20 images par seconde sur n’importe quelle bécane - ne sont accessibles au commun des mortels. Un spectaculaire raté, tout simplement.