Counter-Strike : un moddeur inquiété par la Société de transport de Montréal
Un moddeur est menacé par la Société de transport de Montréal car il cherche à diffuser sa reproduction d'une station du métro de la ville.
Situation peu banale que celle de Diego Liatis, un joueur de Counter-Strike : Global Offensive qui s'est mis en tête de recréer une partie du métro de Montréal. Poli, M. Liatis a contacté la Société de transport de Montréal (STM) afin de pouvoir reproduire la station Berri-UQAM. La réponse de la STM a été sans détour : « La STM vous a avisé qu’elle n’autorisait pas, pour ce projet, l’utilisation de son image et la reproduction de ladite station » et une mise en demeure lui a été envoyée.
Relayé par le Journal de Montréal, le cas est incroyable et la justification de la société l'est au moins autant. Selon Diego Liatis, la STM craint effectivement « de provoquer une panique chez les usagers ». Pire, la STM aurait parlé d'une amende de 50 000 dollars si le niveau était rendu public. Contactée par nos confères, les STM n'a pas souhaité commenter la mise en demeure. Seule la conseillère en communications a précisé que « la STM a l’habitude prendre des mesures quand il y a une utilisation sans droits de sa marque »
Diego Liatis a indiqué au Journal de Montréal qu'il ne souhaite pas en rester là et qu'il tentera tout de même de mener le projet à terme, « car on sait qu’ils n’ont pas raison ».
Relayé par le Journal de Montréal, le cas est incroyable et la justification de la société l'est au moins autant. Selon Diego Liatis, la STM craint effectivement « de provoquer une panique chez les usagers ». Pire, la STM aurait parlé d'une amende de 50 000 dollars si le niveau était rendu public. Contactée par nos confères, les STM n'a pas souhaité commenter la mise en demeure. Seule la conseillère en communications a précisé que « la STM a l’habitude prendre des mesures quand il y a une utilisation sans droits de sa marque »
Diego Liatis a indiqué au Journal de Montréal qu'il ne souhaite pas en rester là et qu'il tentera tout de même de mener le projet à terme, « car on sait qu’ils n’ont pas raison ».
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