Focus, un éditeur français qui se développe
Chiffre d'affaire doublé, catalogue digital performant, confiance envers les indépendants français : Focus trace sa route sereinement
Démantèlement de THQ, Atari US qui joue au phénix, fermeture définitive d'un Eden Games lymphatique ces dernières années : les temps semblent définitivement bien durs pour les structures qui n'ont pas les reins assez solides. Entre toutes ces mauvaises nouvelles, certaines structures modestes semblent bien s'en tirer, en ayant notamment adapté leur modèle économique aux mutations récentes du marché du jeu vidéo.
C'est le cas de Focus Home Interactive, qui annonce fièrement une progression de plus de 50% de son chiffre d'affaire en 2012, pour un résultat de 25 millions d'euros. Si la distribution physique progresse, c'est surtout à sa forte orientation digitale que l'éditeur français doit sa croissance, le dématérialisé représentant désormais près de la moitié de ses revenus.
Derrière les Blood Bowl de Cyanide mais aussi les très populaires Farming Simulator ou encore l'excellent Wargame : European Escalation, la structure investit en France (15 millions d'euros sur le marché français) mais reste puissant à l'international, qui lui assure une bonne partie de ses revenus.
C'est le cas de Focus Home Interactive, qui annonce fièrement une progression de plus de 50% de son chiffre d'affaire en 2012, pour un résultat de 25 millions d'euros. Si la distribution physique progresse, c'est surtout à sa forte orientation digitale que l'éditeur français doit sa croissance, le dématérialisé représentant désormais près de la moitié de ses revenus.
Derrière les Blood Bowl de Cyanide mais aussi les très populaires Farming Simulator ou encore l'excellent Wargame : European Escalation, la structure investit en France (15 millions d'euros sur le marché français) mais reste puissant à l'international, qui lui assure une bonne partie de ses revenus.
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