Test de Independance War 2 : Edge Of Chaos
SOMMAIRE
Quel est le dernier bon simulateur spatial sorti ces deux dernières années? Privateer 2 répondront (à raison) certains, Elite rétorqueront les croûtons adeptes du « c’était mieux avant » et qui ne sont pas sorti de chez eux depuis deux ans… Rappelons-nous aussi que le premier Independance War (ou I-War) était déjà une claque lors de sa sortie, et précisons d’emblée que ce deuxième épisode n’a pas à baisser les yeux devant ses illustres ancêtres. Naissance d’une nouvelle référence….
Un jeu de poulpe ?Retour au sommaire

A long time ago, in a galaxy, far, far awayRetour au sommaire

L’histoire se déroule globalement en trois actes : le premier fait de vous un pirate, en pillant les cargos de transports des différentes corporations, le deuxième voit l’émergence d’une alliance rebelle contre l’autoritarisme des corporations, et enfin le troisième fait de vous le leader de la deuxième guerre d’indépendance. Pas toujours facile à suivre du fait des nombreuses missions annexes, le scénario est un fil rouge que le joueur en mal de liberté décidera de suivre ou non suivant ses envies. A tout moment du jeu, il est possible de réaliser des missions annexes vous permettant de récolter des fonds pour trouver des équipements supplémentaires pour vos vaisseaux.
jH. motiv. et plein d’av. rechrch mot. bon ét. pr vaiss.Retour au sommaire

Le pilotage et les combats demandent effectivement une parfaite maîtrise de votre poids lourd du futur. Comme dit précédemment, la physique joue un rôle majeur dans la bonne conduite de votre vaisseau. Ne comptez pas effectuer un looping alors que vous êtes lancé à 2 000 mètres par seconde. Il vous faudra donc gérer habilement les moteurs latéraux ainsi que votre vitesse, et tenir compte de la vitesse de vos ennemis. Même au niveau des combats, ce n’est pas celui qui possède les plus grosses armes qui risque de l’emporter. Petit à petit, on apprend à connaître les points forts et points faibles de chacun des vaisseaux composant l’univers de I-War 2 et à les cibler en premier.
Débauche graphique et perversion matérielleRetour au sommaire

I-War 2 n’est évidemment pas sans défauts. On pinaillera sur la carte stellaire qui aurait gagné à être plus claire, et sur les sauvegardes qui se font uniquement à chaque retour de mission. Les premières heures de jeu risquent également de dérouter les débutants, tant l’univers est vaste et la maniabilité du vaisseau pas toujours évidente. Mais passé l’apprentissage, la liberté offerte et le plaisir de savoir manier son vaisseau spatial mieux que Han Solo l’emportent.
In-dis-pen-sa-ble !Retour au sommaire
Au final, I-War 2 est un excellent simulateur spatial, digne des plus grands. Ambiance, profondeur du gameplay, prise en main et liberté, tous les éléments d’un titre de qualité sont présents. Les joueurs en manque de Elite ou d’un véritable simulateur spatial seront comblés.