Return To Castle Wolfenstein
10 ans après Wolfenstein 3D, l'ancêtre du doom-like, ID Software nous ressert le couvert. Quoi de neuf moteur ?
Après la révolution provoquée par l'ancètre du fps (First Person Shooter), Wolfenstein 3D, sorti il y a maintenant presque 10 ans, id Software décide, dans un marché saturé par ce type de jeu, de nous en sortir la suite : Return to castle wolfenstein (RtCW).
Vous êtes dans la peau du soldat d'élite B.J. Blazkowicz en pleine Seconde Guerre Mondiale et avez été missioné pour enquêter sur des activités de recherche génétique, voire paranormales, au sein du troisième Reich. Hum, je parie que vous voyez déjà arriver, comme moi, des zombies et des morts vivants en plein milieu du jeu.
Le jeu débute alors que vous avez été fait prisonnier par les nazis. Ce n'est bien évidemment pas cela qui va vous arrêter et vous comprendrez bien qu'il suffit, simplement, de s'agripper au plafond de votre cellule, de tomber sur votre gardien et de lui prendre son arme pour se sortir de leurs griffes.
Vous commencez à l'intérieur de l'enceinte dans le château de Wolfenstein (je vous sens surpris ;-), duquel il faudra s'échapper pour atteindre le village le plus proche. La deuxième partie du jeu, vous mettra aux prises avec des créatures surnaturelles dans une crypte pour terminer en affrontant la garde noire. Le moteur 3D utilisé est tout bonnement celui de Quake 3, déplacements, animations, effets graphiques, commandes console, les quakers n'auront aucun mal à prendre le jeu en main tellement on retrouve à l'identiques les éléments présent dans le jeu fétiche de ID Software.
Avec le moteur 3D de Quake 3 aux commandes, un des meilleurs moteurs 3D à l'heure actuelle, on n'est bien évidemment pas déçu par la qualité des graphismes et par l'utilisation à outrance d'effets 3D. Reflets, éclairages, les développeurs s'en sont donnés à coeur joie sans pour autant mettre le PC à genoux. Sur une machine à base de Duron 700 et de Radeon SDR, le jeu est parfaitement fluide en 1024x768 / 16 bits, avec les réglages d'effets graphiques par défaut.
L'ambiance sonore est elle-aussi bien travaillée et, un peu comme dans les films d'aventure américains, la musique change ou s'accélère dans les phases intenses. Pour un peu en rentrant dans la crypte on se prendrait pour Indiana Jones.
Un soldat américain qui va au charbon...
Vous êtes dans la peau du soldat d'élite B.J. Blazkowicz en pleine Seconde Guerre Mondiale et avez été missioné pour enquêter sur des activités de recherche génétique, voire paranormales, au sein du troisième Reich. Hum, je parie que vous voyez déjà arriver, comme moi, des zombies et des morts vivants en plein milieu du jeu.
Le jeu débute alors que vous avez été fait prisonnier par les nazis. Ce n'est bien évidemment pas cela qui va vous arrêter et vous comprendrez bien qu'il suffit, simplement, de s'agripper au plafond de votre cellule, de tomber sur votre gardien et de lui prendre son arme pour se sortir de leurs griffes.
Vous commencez à l'intérieur de l'enceinte dans le château de Wolfenstein (je vous sens surpris ;-), duquel il faudra s'échapper pour atteindre le village le plus proche. La deuxième partie du jeu, vous mettra aux prises avec des créatures surnaturelles dans une crypte pour terminer en affrontant la garde noire. Le moteur 3D utilisé est tout bonnement celui de Quake 3, déplacements, animations, effets graphiques, commandes console, les quakers n'auront aucun mal à prendre le jeu en main tellement on retrouve à l'identiques les éléments présent dans le jeu fétiche de ID Software.
Avec le moteur 3D de Quake 3 aux commandes, un des meilleurs moteurs 3D à l'heure actuelle, on n'est bien évidemment pas déçu par la qualité des graphismes et par l'utilisation à outrance d'effets 3D. Reflets, éclairages, les développeurs s'en sont donnés à coeur joie sans pour autant mettre le PC à genoux. Sur une machine à base de Duron 700 et de Radeon SDR, le jeu est parfaitement fluide en 1024x768 / 16 bits, avec les réglages d'effets graphiques par défaut.
L'ambiance sonore est elle-aussi bien travaillée et, un peu comme dans les films d'aventure américains, la musique change ou s'accélère dans les phases intenses. Pour un peu en rentrant dans la crypte on se prendrait pour Indiana Jones.
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