WoW « victime » de l'embargo sur l'Iran & application mobile gratuite
La Syrie, le Liban, le Soudan et l'Iran privés de Battle.net, tandis que les autres peuvent profiter de la gratuité du service WoW mobile.
Le service Battle.net ne fonctionne plus en Iran, empêchant donc les joueurs de ce pays de s'adonner aux plaisirs de World Of WarCraft ou de Diablo 3 de manière légale, même en ayant acheté le jeu. Selon la société, les sanctions américaine à l'égard de l'Iran (mais aussi la Syrie, le Liban et le Soudan) l'empêchent de fournir leurs services aux résidents de ce pays, qui devront donc passer par des moyens alternatifs plus ou moins légaux (VPN, serveurs pirates) pour jouer aux titres de l'éditeur.
Pire, l'embargo américain empêcherait Blizzard de rembourser les sommes déjà avancées, pour les abonnements ou les précommandes. Une somme qui atteindrait plusieurs millions de dollars tout de même. Alors que dans un premier temps les joueurs soupçonnaient l'Iran d'avoir lui même bloqué les accès Battle.net, un message de l'éditeur sur le forum dédié à la question à clarifié les choses : Blizzard se dit forcé de respecter la loi américaine concernant les échanges commerciaux avec certains pays, dont l'Iran, la Syrie et le Soudan. D'autres titres, comme Guild Wars, RuneScape, Dofus ou même Second Life seraient également concernés par l'interdiction.
Blizzard s'excuse auprès des joueurs touchés par le problème, et se dit heureux de pouvoir lever ces restrictions dès que la loi américaine l'y autorisera. Pas sur que cela suffise à calmer les joueurs concernés.
Plus triviale est l'autre annonce de Blizzard : initialement payant, le service mobile (iOS et Android) de World Of WarCraft devient désormais gratuit. Le service permet de visualiser son personnage et ses caractéristiques mais surtout d'effectuer des transactions et de dialoguer avec sa guilde. Malgré la fuite progressive de ses joueurs vers d'autres MMO et son modèle économique vieillissant, WoW reste quand même leader dans son domaine avec près de 10 millions d'abonnés.
La dernière extension du MMO, World Of WarCraft : Mists Of Pandaria, sortira le 25 septembre prochain.
Pire, l'embargo américain empêcherait Blizzard de rembourser les sommes déjà avancées, pour les abonnements ou les précommandes. Une somme qui atteindrait plusieurs millions de dollars tout de même. Alors que dans un premier temps les joueurs soupçonnaient l'Iran d'avoir lui même bloqué les accès Battle.net, un message de l'éditeur sur le forum dédié à la question à clarifié les choses : Blizzard se dit forcé de respecter la loi américaine concernant les échanges commerciaux avec certains pays, dont l'Iran, la Syrie et le Soudan. D'autres titres, comme Guild Wars, RuneScape, Dofus ou même Second Life seraient également concernés par l'interdiction.
Blizzard s'excuse auprès des joueurs touchés par le problème, et se dit heureux de pouvoir lever ces restrictions dès que la loi américaine l'y autorisera. Pas sur que cela suffise à calmer les joueurs concernés.
Plus triviale est l'autre annonce de Blizzard : initialement payant, le service mobile (iOS et Android) de World Of WarCraft devient désormais gratuit. Le service permet de visualiser son personnage et ses caractéristiques mais surtout d'effectuer des transactions et de dialoguer avec sa guilde. Malgré la fuite progressive de ses joueurs vers d'autres MMO et son modèle économique vieillissant, WoW reste quand même leader dans son domaine avec près de 10 millions d'abonnés.
La dernière extension du MMO, World Of WarCraft : Mists Of Pandaria, sortira le 25 septembre prochain.
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