Blizzard pourrait facilement demander une exemption d'embargo pour l'Iran
L'embargo américain ne concerne pas spécialement le jeu vidéo : Blizzard pourrait donc en être exempté et proposer ses services de nouveau en Iran.
Nous vous contions en début de semaine les déboires des joueurs Iraniens (et Syriens, Libanais ou encore Soudanais) suite à l'arrêt du service Battle.net dans leur pays. Blizzard affirmait à l'époque s'en tenir aux textes de lois américains et se disait « heureux de pouvoir lever ces restrictions dès que la loi américaine l'y autorisera ».
Une déclaration d'un porte parole du ministère des finances américain pourrait bien accélérer le processus. John Sullivan a en effet lâché au L.A Times que le « focus des sanctions n'est pas le jeu vidéo. Nous prendrions en considération une demande d'exemption de Blizzard Entertainment s'ils décidaient de nous en soumettre une. »
En gros, un geste de Blizzard et le litige entre les joueurs concernés et l'éditeur seront réglés : à cause de l'embargo économique fixé par les Etats-Unis sur l'Iran, il est pour le moment impossible pour Blizzard de rembourser les sommes avancées par les joueurs spoliés (précommandes, abonnements...). Les joueurs de Téhéran attendent donc maintenant que Blizzard assume ses propos jusqu'au bout, tandis que l'éditeur fait la sourde oreille aux milliers de mails qu'il reçoit sur le sujet.
Une déclaration d'un porte parole du ministère des finances américain pourrait bien accélérer le processus. John Sullivan a en effet lâché au L.A Times que le « focus des sanctions n'est pas le jeu vidéo. Nous prendrions en considération une demande d'exemption de Blizzard Entertainment s'ils décidaient de nous en soumettre une. »
En gros, un geste de Blizzard et le litige entre les joueurs concernés et l'éditeur seront réglés : à cause de l'embargo économique fixé par les Etats-Unis sur l'Iran, il est pour le moment impossible pour Blizzard de rembourser les sommes avancées par les joueurs spoliés (précommandes, abonnements...). Les joueurs de Téhéran attendent donc maintenant que Blizzard assume ses propos jusqu'au bout, tandis que l'éditeur fait la sourde oreille aux milliers de mails qu'il reçoit sur le sujet.
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